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Histoire SNV #7 : DSM

La protection solaire est indispensable. La peau n’oublie jamais !

L’été, le soleil, la plage … vous avez tellement attendu ce moment. Mais n’oublions pas pour autant le revers de la médaille. Le soleil joue lui aussi double jeu, comme le confirme le Dr. Jürgen Vollhardt de DSM. D’un côté, c’est un véritable créateur d’ambiance qui joue un rôle central dans la production de vitamine D et a même un effet hypotenseur. D’un autre côté, nous sommes déjà probablement tous rentrés de vacances avec un coup de soleil en souvenir et nous connaissons la douleur et les séquelles qui y sont associées. Alors que les souvenirs de vacances s’estompent peu à peu, la peau se souvient de chaque rayon de soleil des années plus tard. Le nombre de cancers de la peau continue d’augmenter, sans aucune perspective de baisse. Triste constat, la Suisse arrive en tête des pays européens les plus touchés par ce cancer.

Le côté obscur du soleil
Près de 5 % de la lumière du soleil est émise sous forme de rayonnement ultraviolet (UV) de haute intensité. Mais quelle est la différence entre les UVA et les UVB ? C’est très simple : les UVB n’atteignent que la surface de la peau et provoquent une rougeur : le fameux coup de soleil. Les UVA, en revanche, pénètrent dans les couches plus profondes de la peau et sont davantage responsables du vieillissement cutané. Malheureusement, les deux types de rayonnement contribuent au développement du cancer de la peau, même si les UVB sont nettement plus agressifs. Même les vitres ne filtrent pas complètement les UVA. En 2012, le «The NEW ENGLAND JOURNAL of Medicine» a publié un article inquiétant allant dans ce sens. Après 28 ans de service, le côté gauche du visage d’un chauffeur routier avait beaucoup plus vieilli que le côté droit, présentant même diverses altérations nocives pour la santé.

Image : répartition énergétique du rayonnement solaire au niveau de la mer
Même si les UV ne représentent qu’une petite partie de l’énergie, ils sont capables de provoquer des changements moléculaires grâce au contenu énergétique de chaque photon. Malheureusement, les effets positifs de la lumière du soleil (bonne humeur, bronzage, vitamine D, baisse de la tension artérielle) se produisent simultanément et se répartissent sur les zones à risque. La recommandation ici est donc de limiter l'exposition et de ne jamais aller jusqu’au coup de soleil complet, même avec une crème solaire. Un régime riche en vitamines est un excellent moyen de préparer la peau au stress oxydatif. Là encore, il ne faut pas trop en faire. À un moment donné, le réservoir d’antioxydants de la peau s’épuise.
(Source : DSM)

Protection anti-UV en tube
Il est donc d’autant plus important de se protéger du soleil à plusieurs niveaux : rechercher de l’ombre, porter des vêtements de protection et appliquer des crèmes solaires de qualité s’avère utile. Si l’on se fie aux sources grand public sur Internet, la première crème solaire a été lancée en 1933. L’apparition du maillot deux pièces et de nouvelles disciplines sportives, dans lesquelles les athlètes et les sportifs amateurs étaient de plus en plus exposés au soleil y sont notamment pour quelque chose. Spécialisée dans la création de produits novateurs dans les sciences de la vie et des matériaux et membre de la SNV Association Suisse de Normalisation, la société DSM s’engage à améliorer la qualité de vie pour tous et développe notamment des filtres UV pour les crèmes solaires. Si vous êtes déjà passé devant un rayon de produits solaires, vous savez à quel point il est difficile de choisir : crèmes, sprays, lotions, choix de l’indice de protection, résistance à l’eau, protection 24h, filtres chimiques, filtres physiques (y compris les filtres minéraux), vous avez l’embarras du choix. Le facteur décisif n’est pas le prix, mais la composition et l’efficacité. Cette dernière se traduit par l’indice de protection (IP), également connu en anglais sous le nom de SPF (Sun Protection Factor). Si vous utilisez par exemple un indice 30, vous serez 30 fois mieux protégé que sans crème solaire et retarderez l’apparition des rougeurs. Toutefois, le Dr. Jürgen Vollhardt explique que le facteur de protection indiqué sur l’emballage ne peut être atteint que si la quantité recommandée est utilisée. Il est également essentiel d’appliquer la crème solaire avant le bain de soleil et de bien l’appliquer sur l’ensemble du corps. Malheureusement, ce n’est souvent pas le cas et l’effet protecteur est réduit en conséquence. L’exemple choisi est impressionnant : avec une concentration d’application de 0,4 mg/cm2, soit un cinquième de la quantité recommandée, on suppose en pratique qu’une lotion indice 30 sur la plage n’atteint également qu’un cinquième de la protection anti-UV, ce qui correspond en réalité à un indice 6. Cela vous protégera contre les coups de soleil massifs sur la plupart des plages et sauvera la suite de vos vacances, mais ce ne sera pas suffisant pour prévenir le cancer. Lorsqu’on lui demande si cette corrélation ne devrait pas être rendue transparente pour que les amateurs de bronzette ne se laissent pas bercer par un faux sentiment de sécurité, le Dr. Jürgen Vollhardt répond : « par principe, on ne peut pas dire aux consommateurs quelle quantité de crème solaire ils doivent utiliser, mais seulement leur donner des recommandations. Mais un avertissement explicite ne serait peut-être pas une mauvaise chose. Ce qui est évident pour moi en tant que scientifique, à savoir « plus petite quantité = moins de protection », ne l’est potentiellement pas pour tout le monde. L’indice de protection indiqué est toujours lié à la quantité appliquée. Ces dernières années, notre industrie s’est battue pour obtenir des niveaux d’indice de plus en plus élevés et aujourd’hui, vous pouvez même acheter des crèmes solaires indice 100 aux États-Unis. Il est vrai que nulle part sur terre, la journée et l’exposition au soleil ne durent aussi longtemps pour qu’un tel facteur soit nécessaire si la crème solaire est correctement appliquée. En revanche, l’indice élevé compense la quantité insuffisante de produit utilisée par certains consommateurs. Avec seulement un cinquième de la quantité recommandée, l’indice de protection serait encore de 20. Je pense qu’un indice 10-15 effectif sur la plage aurait une incidence clairement positive sur les statistiques du cancer de la peau, mais qu’un indice 5 est loin d’être suffisant ! ».

Filtres UV avec référence absolue
La méthode de tests du facteur de protection solaire (SPF) est aujourd’hui normalisée dans le monde entier. La méthode SPF décrite dans la norme SN EN ISO 24444:2020 et la méthode entièrement comparable aux États-Unis, telle que définie par la FDA (Food and Drug Administration) pour la mesure du SPF, nécessite des tests humains longs, complexes et laborieux. Les personnes testées sont soumises à des doses érythémales d’exposition aux UV sur une petite zone cutanée. C’est pourquoi, le désir d’une méthode alternative est présent depuis longtemps. De surcroît, la complexité de la procédure et certaines imprécisions de ce test biologique (sujets humains, application de la crème solaire par des personnes et lecture par des personnes) conduisent à une variabilité aléatoire relativement importante, notamment entre les différents laboratoires qui réalisent ces tests. Au cours des deux à trois dernières décennies, des méthodes alternatives telles que les tests de transmission in vitro, les calculs in silico ou les tests in vivo non invasifs (avec une dose d’UV négligeable sur les personnes) sont apparues. Le stade actuel de développement encourage à prendre conscience et à se concentrer sur ces méthodes en tant qu’alternatives prometteuses. La comparaison des données SPF alternatives avec la référence absolue requiert un ensemble de données solide, et donc un effort expérimental considérable, que l'Organisation internationale de normalisation (ISO) ne peut pas se permettre. C’est pourquoi, l’idée de projet ALT-SPF a vu le jour en 2018. Uli Osterwalder et Jürgen Vollhardt, tous deux membres de la DSM et de la SNV à l’époque, ont lancé une étude inter-laboratoires avec d’autres sociétés de renom telles que Beiersdorf, L’Oréal, Johnson & Johnson, et plus tard également Mibelle. L’objectif d’une méthode de mesure alternative est de fournir des valeurs plus précises et de les rendre facilement reproductibles et peu coûteuses à réaliser par tous les laboratoires du monde entier. Avec cette initiative, les initiateurs souhaitent allier les ressources afin d’obtenir la comparabilité tant souhaitée avec la méthode SPF in vivo, telle que définie par la « norme de référence ISO 24444 ». Le Dr. Jürgen Vollhardt rappelle que la méthode de tests SPF a une influence directe sur les dommages cutanés humains. Dommages que l’on souhaite bien sûr éviter. Ce qui la définit en tant norme de référence.

ALT-SPF et ISO, main dans la main
L’ISO élabore des normes internationales sur une base volontaire avec des experts de l’industrie, mais aussi d’autres parties prenantes telles que les administrations ou les organisations de consommateurs. L’effort est supporté par tous, et une validation bien fondée signifie un effort supplémentaire considérable. C’est exactement là qu’intervient le consortium ALT-SPF. Il vielle à ce que la caractérisation soit effectuée selon des normes scientifiques et que chaque méthode alternative pertinente ait une chance, souligne le Dr. Jürgen Vollhardt. Les données recueillies sont traitées de telle manière à pouvoir être validées par les administrations ou organismes de normalisation intéressés. Les mesures alternatives ne doivent ni surestimer ni sous-estimer les valeurs SPF. L’important pour les utilisatrices et utilisateurs de crèmes solaires est que, quelle que soit la méthode de mesure, un produit SPF 30 actuel reste un 30, même avec une méthode de tests future non humaine.

Image : Interaction entre ISO et ALT-SPF. (Source : www.alt-spf.com)

PARSOL – Filtres UV haut de gamme
Les filtres UV PARSOL de DSM doivent répondre à des normes de qualité élevées et font l’objet d’un grand succès à l’échelle mondiale. PARSOL1789 est le filtre UV-A global. Il est en tant que tel enregistré et approuvé à l’échelle mondiale, c’est-à-dire également aux États-Unis. En d’autres termes, les fabricants de crème solaire n’ont aucune alternative aux États-Unis. Il n’est donc pas surprenant qu’environ 80% des crèmes solaires pour le visage et près de 70% des crèmes solaires corporelles contiennent le filtre DSM. Lors du développement de filtres UV, de nombreuses normes du Comité ISO/TC 217 « Cosmetics » reçoivent application. « Les normes nous permettent de mesurer les performances du produit dans tous les pays selon le même principe. C’est pourquoi, vous pouvez aujourd’hui acheter des produits locaux n’importe où dans le monde et vous fiez à la protection qui a été mesurée selon les normes internationales (ISO). En tant que membre de l’Association Suisse de Normalisation (SNV), nous sommes heureux de pouvoir collaborer et influer sur cette méthode de tests. Ce qui est surtout important en ce qui concerne les nouveaux développements de filtres UV. Nous avons récemment constaté que certains systèmes de filtres UV de notre programme se comportent très intelligemment sur la peau et attestent d’une performance bien supérieure à nos attentes. Ces résultats de recherche sont directement intégrés dans les développements de nouvelles générations de filtres UV. Il est sur ce point important que ces effets soient également visibles dans des méthodes de détermination in vitro alternatives », explique le Dr. Jürgen Vollhardt.

Choisir la bonne protection solaire
Une bonne crème solaire ne doit pas forcément coûter cher. Le docteur Jürgen Vollhardt recommande : « Veillez surtout à ce que l’application du produit de protection solaire vous plaise. En effet, il existe de grandes différences sensorielles et des formes diverses de produits. N’hésitez pas à tester plusieurs produits. Recherchez consciemment la meilleure sensation sur la peau ! Et cela vaut surtout pour les hommes. Ils ont des exigences particulièrement élevées en matière de produits « qu’ils tolèrent » et ont tendance à ne pas utiliser de protection solaire du tout plutôt que d’éprouver une sensation désagréable sur la peau. Il faut un indice de protection solaire de 30 au moins, et ne lésinez pas sur la quantité. Les protections solaires sont importantes pour tous. Un conseil supplémentaire : questionnez les affirmations comme quoi les produits de protection solaire seraient nocifs. De nos jours, tout soupçon relatif à des composants potentiellement dangereux se répand comme une traînée de poudre, aussi bien dans les médias classiques que sur les réseaux sociaux. En effet, les « mauvaises nouvelles » sont plus vendeuses que les bonnes. Et malheureusement, la plupart des soupçons n’ont aucun fondement par rapport au risque. De telles approximations déstabilisent les consommateurs alors que la non-utilisation de crème solaire serait fatale pour la santé. La sécurité des filtres UV disponibles sur le marché a été testée lors de l’application sur des humains et ils ont été autorisés en conséquence par les autorités selon les directives en vigueur. L’effet de chaque nouvelle substance sur le cœur et les reins est testé. Si nécessaire, les anciennes substances sont de nouveau évaluées. Des substances dangereuses n’auraient aucune chance d’être autorisées. Tous les filtres UV autorisés sont sûrs pour les humains. D’un point de vue scientifique, différencier le bien et le mal n’a aucun sens. En ce qui concerne la compatibilité environnementale, nous avons désormais développé un système d’évaluation basé sur des études. Avec celui-ci, les fabricants peuvent estimer l’influence des paramètres très complexes avant même le laborieux travail en laboratoire et les comparer avec une valeur moyenne de la branche. Si ce système s’impose, il s’agira d’un moteur pertinent pour le développement de produits de protection solaire avec une compatibilité environnementale encore améliorée. Dans l’idéal, nous souhaitons également développer une norme et un label sur l’emballage pour ce système d’évaluation. Cela permettra aux consommateurs de bénéficier d’une aide scientifique à la décision tout en préservant l’environnement. Conclusion : recherchez une protection solaire avec un indice minimum de 30 et que vous appliquez avec plaisir. Tout le reste ne fonctionne pas à long terme ! ».

Les humains ont le teint, les coraux perdent leur couleur
Depuis longtemps, les organisations environnementales avertissent que les substances chimiques contenues dans les crèmes solaires contribueraient à la destruction des récifs coralliens. Des Etats maritimes ont réagi. Ainsi, l’oxybenzone et l’octinoxate sont interdits depuis le 1er janvier 2021 dans l’Etat fédéral d’Hawaï, conformément à la disposition du « Hawaii Ban ». Le docteur Jürgen Vollhardt apprécie l’envie croissante des consommateurs de réduire les conséquences négatives de leur comportement sur l’environnement. Mais il ne soutient aucunement la tendance opposée consistant à ne plus utiliser de crème solaire : « Je suis choqué et préoccupé lorsque sur les forums en ligne ou les médias en ligne, j’entends des recommandations préconisant de ne plus utiliser de crème solaire du tout. Ceci est particulièrement risqué à des endroits comme Hawaï ou d’autres lieux avec une forte exposition au soleil. Le nombre de cancer de la peau a augmenté déjà avant l’interdiction et je crains que cette nouvelle loi empire encore les choses. » Même si, à première vue, cela pourrait sembler paradoxal pour une entreprise de la branche chimique, la durabilité constitue un thème stratégique chez DSM. Ils assurent contrôler et minimiser toutes les conséquences négatives et risques de sécurité pour la santé des personnes, des animaux et de l’environnement le long de l’ensemble de la chaîne de création de valeur. Et est-ce que la crème solaire est vraiment la seule cause de la destruction des coraux ? « Les données scientifiques indiquent que la hausse des températures de l’eau et la pollution par les eaux usées constituent les principaux facteurs de stress pour les coraux. En 2017, l’UNESCO a publié la première évaluation scientifique globale des conséquences du changement climatique sur les récifs coralliens du patrimoine mondial. Cette étude a permis de relier le stress thermique important et élevé résultant de la hausse des températures maritimes au blanchiment du corail sur des sites importants. En outre, nous savons que le blanchiment des coraux survient aussi sur des récifs isolés où la crème solaire ne s’est pas répandue dans l’eau. On peut donc craindre que l’interdiction à Hawaï n'aille pas sauver les coraux », explique le docteur Jürgen Vollhardt.

Se protéger des rayons ou bien lézarder au soleil
Comment se comporte celui qui, dans sa vie professionnelle, est confronté quotidiennement aux crèmes solaires, aux filtres UV et aux statistiques sur le cancer de la peau ? Quelle est sa relation au soleil ? « Comme bien des gens, j’aime l’été, cette période de luminosité intense, et j’aime aussi les sorties à VTT ou en escalade. À cette occasion, j’utilise beaucoup de crème solaire. Une marque qui pénètre rapidement et laisse un film assez sec et mat sur la peau. Si je suis en plein air à l’heure du déjeuner, j’en mets deux fois de suite à intervalles rapprochés. Deux heures après le zénith (qui survient en Suisse à env. 13h30), le rayonnement UVB n'est plus que de 50%. Cependant, cela ne s'applique pas en montagne. Ce constat est particulièrement vrai en Suisse. Oui, et pendant la mauvaise saison, d’octobre à mars, je prends des comprimés de vitamine D. Certes, j’aime le poisson, qui peut aussi contenir de la vitamine D, mais pas tous les jours », reconnaît le Docteur Jürgen Vollhardt en souriant.

Profitez des bienfaits du soleil et protégez-vous chaque jour, même lorsque le ciel est couvert ou en hiver. Les rayonnements du soleil ne font jamais de pause.

L’Association suisse de normalisation (SNV) vous souhaite des mois d’été ensoleillés.

Seealpsee / Photo : Jan Benisch

La Suisse, un cas particulier : le pourquoi du comment
La Suisse ne compte ni plages, ni 365 journées ensoleillées et sans nuages. Comment se fait-il que nous soyons en tête des statistiques relatives au cancer de la peau en Europe ? Avons-nous simplement une peau plus sensible ou devons-nous effectuer plus souvent des contrôles cutanés ? « Il faut croire que le comportement des Suisses joue un rôle important dans ce domaine. D’une part, les séjours vers les destinations équatoriales sont très prisés ainsi que bien sûr, les vacances dans nos propres montagnes. Ces deux zones sont soumises à une exposition extrême aux rayonnements, notamment à des UVB en abondance. La plupart des Suisses sont conscients que les activités de montagne comportent des risques d’accident et sont prêts à se protéger et à se comporter en conséquence. Mais à part cela, un séjour en montagne est considéré comme absolument sain et, bien sûr, on revient de randonnée avec une dose de bonne humeur. Cependant, en raison précisément de l’exposition extrême aux rayonnements, une bonne protection solaire est très importante ici, surtout en hiver aussi. Même un simple coup de soleil à la suite d’une randonnée en montagne ou à ski effectuée avec trop peu de crème solaire présente un risque important de cancer de la peau. Il est préférable d’appliquer une deuxième couche de crème solaire dès que la première a séché. Ça va vite en montagne. Portez un chapeau et un tee-shirt couvrant les épaules, sinon vous risquez de regretter la randonnée bien plus tard », conseille Jürgen Vollhardt.

DSM
Fondée en 1902, Royal DSM est aujourd’hui une entreprise mondiale présente dans les domaines de la nutrition, de la santé et de modes de vie durables. DSM propose des solutions innovantes dans les domaines de la nutrition humaine et animale, des soins personnels et des arômes, des dispositifs médicaux, des produits et applications respectueux de l’environnement, ainsi que de la nouvelle mobilité et de la connectivité. DSM est membre du comité SNV INB/CN 1217 « Cosmétiques et prestations de services dans les entreprises cosmétiques professionnelles ».

Dr Jürgen Vollhardt
Le Docteur Jürgen Vollhardt, Global Head of Science & Promotion Sun Care, a passé sa thèse de chimie au sein de l’Université de technologie de Darmstadt, en Allemagne. Il a ensuite aidé Dragoco/Symrise, une entreprise de l’industrie des parfums et agents aromatisants, à mettre sur pied un projet de recherche en cosmétique. De 1999 à 2003, il a été responsable, depuis les Etats-Unis, du développement commercial dans le domaine des substances actives sur la peau. En 2003, il a rejoint Roche Vitamines en Suisse, qui a peu de temps après fait partie de DSM Nutritional Products, et où il s’est de plus en plus familiarisé avec le domaine des protections solaires. Parmi ses domaines d’intérêt figurent notamment l’évaluation sensorielle des formulations cosmétiques et l’acceptation du consommateur qui va de pair avec. Il s’est en outre penché sur la répartition des filtres UV sur la peau et l’influence de celle-ci sur l’efficacité. Depuis plus de dix ans, il est membre du GW7 pour les méthodes de protection solaire au sein de l’Association Suisse de Normalisation (SNV).

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